Aux premiers temps de l’adolescence, sous la douche, ce ne fut pas seulement l’érotisme qui envahit Elizabeth Sotomayor, mais en même temps que ses vagues, la sensation de son esprit coulant avec l’eau sur sa peau, moins qu’une chose, ou mieux qu’une chose plutôt : un flux plastique qu’aucune intuition, pas même la plus confuse, ne pouvait laisser présager.