Versions, § 145. Fictions, etc. ad inf.

Peut-on ne pas aimer cette manière de paresse ontologique, qui conduit un écrivain à envisager un livre et à rester sur le seuil de l’être en ne lui donnant qu’une consistance subtile, sans corps écrit ? À moins que nous n’ayons affaire ici à un supplément de fiction, à des fictions de fictions, etc. ad inf. ?

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