Si un matin, au réveil, constatant que ce monde n’est pas encore mort, tu venais à perdre patience, rendors-toi et attends ; la fin est toujours plus proche qu’on ne le croit.
Si un matin, au réveil, constatant que ce monde n’est pas encore mort, tu venais à perdre patience, rendors-toi et attends ; la fin est toujours plus proche qu’on ne le croit.
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